Parmi les patients que j’ai suivi qui étaient mortellement atteints, à brève échéance, j’ai distingué deux catégories : il y a d’une part ceux qui ne veulent pas mourir, et d’autre part ceux qui veulent continuer à vivre.
Entretien avec Michel de M'Uzan par Dominique Cupa, Le Carnet/Psy n° 127, 2008