Parce que le temps passé à ruminer le mal qu'on te fait n'est que tu temps perdu que tu ferais mieux d'employer à fabriquer le bien que tu te dois. Et surtout parce que le destin te couvre de cicatrices pour en faire des blessures de guerre. Et c'est avec les plus profondes qu'on récolte les plus belles médailles. Je dois mes plus beaux moments à mes plus mauvais. Parce que même englué dans le pire de mon présent, j'ai toujours eu confiance dans la suite.
Patrick Sébastien, Le vrai goût des tomates mûres