L’instinct de mort n’est que le désir de vivre renversé en son contraire, une forme creuse transformée en forme pleine, fascinant l’imaginaire à cause de la souffrance et de l’ambivalence du désir engagé dans les frustrations de la réalité.
Jean Guillaumin, Entre blessure et cicatrice, le destin du négatif dans la psychanalyse