La vertu de patience, c'est supporter les tourments intérieurs de nos insatisfactions par rapport à l'idéal auquel on aspire. C'est aussi endurer d'être persécuté ou vilipendé parce qu'on pratique du mieux qu'on peut l'idéal auquel on aspire. Pour endurer les insatisfactions intérieures, il faut mettre toute sa confiance dans son destin.
Denis Kengan Robert, Introduction au Shobogenzo Zuimonki : Etre zen selon Dogen